Afin de « make our planet great again », côté communication, des questions pratiques se posent au quotidien. Pour commencer, quid du papier lors de l’impression de plaquettes, flyers, programmes et autres catalogues ?
Il n’y a bien entendu pas une réponse mais des réponses. D’abord, commençons par mieux évaluer les besoins. Est-il nécessaire d’imprimer ou est-il possible de dématérialiser le support ? Puis, pensons pratique : imprimons la quantité nécessaire. Pas plus. Pas de « au cas où » qui encombrent stocks et halls d’entrée !
Se pose ensuite la question « Utiliser ou pas un papier recyclé ? ». Le papier recyclé n’est pas toujours un acte si vert que ça, à moins de sélectionner un papier 100 % recyclé, non blanchi et non désencré, donc beige ou gris. Ce qui pose deux problèmes. D’une part, un rendu moins esthétique notamment pour les visuels. D’autre part, la difficulté de choisir un fournisseur car, côté labels, ce n’est pas encore très clair.
De nouvelles alternatives commencent à voir le jour comme le papier de pierre dans lequel les fibres de cellulose extraites du bois sont remplacées par du carbone de calcium (80%) et du polyéthylène (20%), l’un récupéré dans les débris de chantiers de construction, l’autre dans les conditionnements recyclés. Une affaire à suivre donc.
Restent encore les valeurs sûres : les papiers certifiés FSC ou PEFC qui garantissent le respect des fonctions environnementales, économiques et sociales des forêts.
A bientôt… pour parler encres et polices de caractères écolos !