Use case

Vous le savez, point de snobisme chez nous. On vous traduit tout de suite en français ce que veut dire « use case » : cas client. Eh oui, c’est aussi simple que cela ! Mais que l’on utilise l’expression anglaise ou française, de quoi s’agit-il ? Quand est-il pertinent d’utiliser cet outil ? Comment fonctionne-t-il ? Autant de questions auxquelles nous allons répondre aujourd’hui.


Qu’est-ce qu’un use case ? 

Le use case est le nec plus ultra du témoignage. La « crème de la crème » pour faire parler vos clients à votre place. Pourquoi ? Parce que le use case a plus d’un atout dans son jeu. À commencer par les mêmes avantages que son petit frère : le témoignage client. Rappelez-vous ses forces : réassurance, identification (presque au sens freudien :) ), comportement grégaire et impression d’objectivité.

Sauf que le use case est plus fort : il joue dans la cour des grands. Le témoignage est la preuve que le client est content ; le use case, qu’il est au nirvana ! Prêt à faire preuve de transparence sur sa problématique, à livrer son histoire dans son intégralité.

Bonne nouvelle : les avantages du use case peuvent en cacher d’autres. Demander à un client d’être le héros d’un use case est un bon moyen pour renforcer son engagement vis-à-vis de votre produit / marque / entreprise. C’est aussi quelque fois l’occasion de bénéficier de l’aura d’un client prestigieux. Enfin, le cas client est une aubaine pour alimenter votre site internet en contenu.


The dark side of the use case  

Bon, vous le savez, nous sommes nous aussi transparents sur les pratiques du métier. Il va de soi que certains use cases sont un peu moins authentiques qu’ils ne paraissent. Des cas clients sont le fruit d’un échange monnayé. D’autres sont proposés pour satisfaire l’ego d’un client clef. D’autres encore sont acceptés pour des raisons de référencement : que ne ferait-on pas pour un (bon) lien externe !


Use case : à quel moment ?

Autant vous le dire tout de suite : il y a des divergences de points de vue dans le petit monde du marketing. Certains spécialistes le préconisent en pure démarche SEO : pour travailler une requête de type « avis + nom de la société ». D’autres pensent qu’il est opportun de pousser un use case vers des prospects déjà qualifiés à mi-parcours de l’acte d’achat. Une troisième catégorie recommande l’emploi du cas client pour conclure la vente.
Et nous, dans tout cela ? Nous n’avons pas de position tranchée : ces trois utilités ne nous semblent pas antinomiques.


Use case : quel contenu ? 

Premier conseil : pas de discours commercial. Le cas client apporte la preuve par l’exemple. Donc du concret. Du chiffré. Du 100% vrai.

Le use case se construit le plus souvent sur la structure suivante :

Bref, des airs de storytelling, le tout agrémenté de citations, voire d’une vidéo.


Use case : comment s’y prendre ?  

Comme tout contenu, le cas client requiert du temps et des compétences :


Use case : quel client choisir ?

Les entreprises optent souvent pour le client le plus prestigieux. Logique : il présente comme nous l’avons vu un intérêt en termes d’image. Mais il ne faut pas oublier l’objectif : vendre. Cet illustre client va-t-il générer l’identification ? Ce n’est pas toujours le cas. Il peut donc s’avérer plus pertinent de solliciter un client qui incarnera mieux le cœur de cible, qui parlera au plus grand nombre.

Ça vous donne des idées ? NOVELUS est là pour vous aider !

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